Parce que je me suis tue trop longtemps…

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mardi 27 juillet 2010

Croque la pomme


Oh, ce professeur. Le genre renfermé et discret. Il ne fait que ce qu’il doit faire, c’est-à-dire nous enseigner, mais s’il savait à quoi je pense pendant qu’il explique les diverses notions au tableau. Je regarde ses fesses, bien moulées à travers son jean. Elles ont l’air dodues et fermes, comme je les aime! Je m’attarde à la courbe de ses reins, et je m’imagine très bien, les jambes enroulées autour de lui, en train de le chevaucher sauvagement... Mais je sais qu’il ne se passera rien, puisqu’il ne sait même pas que j’existe!

Du moins, c’est ce que je croyais. La semaine dernière, juste avant le début du cours, lorsque je suis entrée en classe, nos regards se sont croisés, comme ça, sans raison. Ouf ! On pouvait sentir l’électricité passer! J’ai passé le cours complet à le manger des yeux, à me mordiller la lèvre inférieure, à faire vaguer mes cheveux pour dévoiler ma nuque. Je me demandais ce qui allait se passer.

Lorsque les élèves sont sortis, je me suis avancée à son bureau. Ma main tapotait sur le bois, signe de nervosité. Il a posé sa main sur la mienne, et je l’ai regardé. Ça n’a duré que quelques secondes, car il m’a embrassée à pleine bouche. Pour ensuite se diriger dans mon cou, juste sous l’oreille. Ça donne des frissons si agréables! Il a ensuite bifurqué vers mes épaules, qu’il s’est mis à dénuder tranquillement. Je ne portais qu’un chemisier léger, à qui il n’a laissé aucune chance de survie. Son nez farfouillait à l’intérieur de mon décolleté. Je me sentais défaillir. Mais je ne demandais que ça! Doucement, il a écarté ce soutient gorge que j’avais choisi avec soin, pour faire ressortir mes seins légèrement pointés... Il les a pris entre ses doigts, les caressant légèrement. C’était doux. Ils étaient lourds dans ses mains chaudes et lorsque sa bouche se posa sur mon mamelon durci par le désir, il était clair que je ne voulais plus reculer...

D’un coup, il balaya les feuilles, les cahiers et manuels de la surface de son bureau, et il me poussa sauvagement pour que je m’y étende sur le dos. Toujours en m’embrassant les seins, sa main descendit et chercha pour défaire mon jeans et le faire tomber par terre, à mes pieds. Dessous, je portais un string en dentelle noire et l’effleurement de ses doigts sur le long de ma fente humide me donnait un avant-goût de l’extase tant recherchée.

Le dos cambré, je poussai sa tête pour que sa bouche aille rejoindre ses mains. Ce qu’il fit, en accompagnant la descente d’une multitude de baisers donnés çà et là sur mon ventre. Enfin, je pus sentir son souffle sur ma chatte gorgée de désir. Je le désirais depuis si longtemps, je n’en pouvais plus! Il déposa sa langue, puis il fit de légers mouvements de haut en bas sur mon clito gonflé. Hmmm! Tellement bon! Les yeux fermés, j’avais du mal à respirer tellement mon plaisir était grand! Il introduit en moi quelques doigts, en continuant de me lécher, tantôt lentement, tantôt rapidement. Ses lèvres posées sur ma chair juteuse, son souffle chaud refroidi par sa respiration rythmée de coups de langue, j’étais conquise. Juste avant que je puisse réellement m’abandonner à la jouissance, il cessa ses caresses et se redressa.

Les yeux dans les yeux, il n’était plus nécessaire de parler. Je me redressai, pour lui enlever son pantalon et ses boxers. Sa verge était déjà bien dure, et je pus tout de suite commencer à lui rendre la pareille. Je la pris dans ma bouche, et il soupira doucement. Tandis que j’allais de haut en bas avec mes lèvres sur sa queue, ma langue se promenait doucement sur son gland, afin de le rendre complètement fou. Ma main caressait doucement ses testicules, et j’accélérai le mouvement de succion. Ce fut lui qui me demanda d’arrêter, parce qu’il voulait me prendre, là, maintenant, sur le bureau.

Afin de reprendre ses esprits, il fit glisser son gland sur la fente de ma chatte pendant quelques secondes, avant de l’enfoncer en moi. J’étais si humide et chaude, aucun effort à faire pour que l’on monte au septième ciel. Il me pilonnait si fort que mes seins se balançaient et que je devais me tenir contre le bureau pour ne pas tomber.

C’est alors qu’il me prit dans ses bras, qu’il me souleva et qu’il vint m’accoter contre le tableau. Il était toujours en moi, et j’étais sur le point de jouir. Je me retenais pour ne pas crier et alerter les gens qui marchaient dans le corridor. Mes jambes autour de sa taille, il continuait de me soulever pour me faire monter et descendre sur sa verge. Hmmm. Le cochon s’amusait à titiller mon clito ultra sensible, me tenant juste à la frontière du non-retour. Cette fois-ci, il était clair que je ne pourrais plus continuer longtemps. Mes yeux se fermèrent, et je m’abandonnai au plus formidable orgasme que j’ai pu connaître. Mes bras et mes jambes tremblaient, et j’avais le souffle court. Peu après moi, ce fut son tour, et il dût lui-même s’asseoir pour ne pas perdre la tête.

Sans un mot, je me suis rhabillée, il fit de même. Je le regardai une dernière fois, et je suis partie. Il n’y avait rien à dire. Sauf peut-être : à la semaine prochaine!

7 commentaires:

Pierrot Lapin a dit…

Je me suis trompé de blog je suis rendu sur un blog de cul. :o)

TitePoère a dit…

Le cul dirige le monde.

Sébastien Haton a dit…

J'avoue que j'ai été surpris en découvrant ce message... mais je trouve que tu te débrouilles bien dans ce domaine (d'écriture) !

TitePoère a dit…

J'espère que tu n'es pas tombé en bas de ta chaise!

Sébastien Haton a dit…

Non, je ne suis pas tombé car mon fauteuil de bureau est large et possède des accoudoirs... mais tout de même, je ne m'y attendais pas...

Dark Calinours a dit…

Désormais, le blog de Tite-Poère sera considéré NSFW, et sera bloqué par les firewalls d'entreprises pour pornographie :P

TitePoère a dit…

Mouhahahaha :D

Me vlà sous surveillance policière :D