Parce que je me suis tue trop longtemps…

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jeudi 10 mars 2011

Le combat des versions!

Laquelle est votre préférée? Pourquoi?



samedi 5 mars 2011

Pinceaux, crayons et brillants ;)

Un petit post pour vous parler de mes 2 amis, Simon et Émilie, qui font des maquillages et de la photographie :)

Émy est une jeune femme réservée, attachante et douée. Simon adore son appareil photo et il croque le quotidien comme l'exceptionnel par pur plaisir.

Voici un aperçu de ce qu'ils font.




Pour le plaisir, offrez-vous une séance avec eux, je vous garanti que vous adorerez! :)

Contact: Strikethepose@hotmail.com




dimanche 20 février 2011

Mais non

Je ne vous abandonne pas, je ne sais juste pas quoi dire, quoi aborder comme sujet. Je suis dans un petit creux intellectuel. Braaains.

samedi 5 février 2011

Allez-voir ce site ;)

vendredi 28 janvier 2011

Je veux croire

On m'avait parlé de lui. On m'avait dit de lui donner à manger, ou des sous, parce que l'hiver est dur, parce que la vie n'est pas facile.

Je l'ai vu ce soir, assis dans la neige près du cinéma, Il était saoul, mais ça ne m'importait peu, parce que moi aussi, je prendrais un coup pour geler mes peines.

Je suis de celles qui n'ont jamais réellement vu la misère de près, seulement dans les films. J'imagine que la dame qui a dit "Je ne lui donne pas une cenne, c'est rien que pour s'acheter de la drogue" est comme moi, sauf à une chose près... Je veux croire.

Je veux croire qu'il nous a suivis et attendus pour l'argent que je lui avais promis. Je veux croire qu'il a serré Alex contre lui avec empressement parce qu'il était heureux et non pour continuer son mensonge..

Oui, oui je crois que cet homme disait vrai quand il nous a parlé de la place qu'il tente d'avoir en thérapie, du fait qu'il reçoit un chèque dans 3 jours mais que hélas, ce ne sera pas suffisant. Je veux croire, tout simplement.

Tu ne m'as pas dit ton nom, mais je vais penser à toi...




Oui oui

Ça s'en vient...

lundi 17 janvier 2011

Le masque

Mais quelle idée ai-je eu de me rendre à une soirée masquée. Je ne voyais pas l'intérêt de ne pas savoir qui se trouvait en face de moi. J'étais loin de me douter que j'allais changer d'idée, sauf que je l'ai aperçue.

Ils étaient autour d'elle et je ne comprenais pas pourquoi toute cette attention lui était destinée, jusqu'à ce qu'elle se retourne vers moi. Ses yeux verts étaient entourés par le masque obligatoire, qui était fait d'une plume de paon. Que d'élégance! Elle avait peint sa bouche d'un rouge profond, empreint de sensualité. Ses cheveux roux étaient remontés, laissant voir une nuque au port altier et sa peau couleur de lait.

Subjugué, je me suis avancé, ne voyant plus que la sublime femme devant moi. Ses formes plus que généreuses allaient avec un corps tout aussi voluptueux. Celui-ci appelait à l'amour, au vice. Rien à voir avec ces femmes que j’aimais d'habitude et pourtant, j'étais conquis.

Sans échanger un mot, nous avons dansé. Je la serrais contre moi quand elle a pris mes mains pour les poser sur ses fesses rebondies. Surpris, mais encore plus excité, je la laissai me guider. Au rythme des pas, nous nous sommes éloignés de la piste. J'aurais pu jurer qu'elle avait fait exprès de nous mener dans ce corridor, où les portes étaient tout entrouvertes. Je ne comprenais pas où elle souhaitait en venir et elle du le comprendre dans mon regard interrogateur.

Du bout des doigts, elle poussa contre la première porte et ce que j'ai vu à ce moment-là allait changer le cours de ma soirée. Dans la chambre, un couple s'embrassait langoureusement. La femme était à califourchon sur l'homme, et celui-ci glissait lentement la fermeture éclair de la robe de sa compagne. Son dos maintenant dénudé était magnifique. Sa chute de reins cambrée, comme un appel à la levrette me fit frissonner. Je me tournai vers ma partenaire de danse, encore plus intrigué qu'au départ. Comme seule réponse, elle me prit la main pour que nous allions vers une autre pièce.

La seconde porte était déjà ouverte. D'autres gens semblaient regarder ce qui se passait à l'intérieur. Deux femmes à la peau sombre étaient dans une immense baignoire remplie d'un lait parfumé à la fleur d'oranger. L'une d'elles, avec ses grands cheveux noirs qui recouvraient sa menue poitrine, versait de ce lait sur sa complice, qui se caressait le cou, les épaules et la poitrine. Elles étaient sublimes, en parfaite harmonie. Elles inter changèrent les places, non sans se donner quelques baisers. La première femme s'agenouilla dans la baignoire pour couvrir le ventre de l'autre demoiselle, qui gémissait de plaisir. Elles semblaient luire à la lueur des chandelles qui entouraient la pièce. Le désir montait en moi, mais je n'avais aucune idée de ce qui m'attendait.

J'avais envie de connaître ce que cachaient les autres portes, alors j'ai suivi ma douce rousse. Des cris langoureux s'échappaient de la chambre, nous pouvions les entendre bien avant de voir ce qui se déroulait à l'intérieur. Toujours sous mon masque, je jetai un coup d'œil. Surprise! Une machine à baiser! Une sublime blonde était étendue sur le dos, sur cette table coussinée, les jambes écartées et posées dans des étriers.

Devant elle se trouvait la bête d'acier, sur laquelle trônait un manche affublé d'un gros godemiché noir. La femme criait "encore, ENCORE!!" mais l'opérateur de la machine n'en faisait qu'à sa tête. Du bout des doigts, il se mit à caresser le pubis, puis les grandes lèvres de la femme, qui se trémoussait de plaisir. Un petit coup de langue, puis deux et elle supplia encore. Avec un sourire plus que pervers, il mit la machine en marche. Celle-ci était placée juste à l'entrée du vagin de la blonde, qui reçut le gode juste là où il était attendu. "Plus vite! Plus fort!" criait-elle encore, sous le coup du plaisir. Tournant une roulette, l'opérateur accepta sa demande et le godemiché se fit aller plus vite, encore plus vite. Elle gémissait, semblait presque se plaindre. La tête vers l'arrière, des spasmes dans tous les muscles, elle prenait visiblement son pied! Soudain, elle lâcha un râle d'une profondeur peu commune et éjacula! Je n'en revenais pas! J'étais vraiment excité, je ne savais plus où donner de la tête, puisque visiblement mon cerveau manquait de sang.

Je sentis alors que l'on me tirait par la main. Mince! J'avais oublié ma compagne! Elle m'attira vers la quatrième porte, puis la ferma derrière elle. Je ne posais pas de question, la laissant faire. Elle enleva sa robe, offrant à ma vue son corps sensuel, ses hanches pleines et sa divine poitrine. Je la trouvais magnifique. Elle me poussa contre le lit et passa mes mains dans les barreaux. Avec un foulard de soie, elle les attacha et je me laissai faire, comme si j'avais perdu toute capacité à dire non. Elle défit ses cheveux, qui tombèrent en boucles souples dans son dos. Ils étaient longs presque jusqu'aux fesses. Elle me regarda à travers son masque, puis elle se leva du lit pour aller tirer le rideau. Mais, surprise! Le rideau cachait un mur fait de verre, qui donnait dans la pièce principale. J'étais sur le lit, attaché et j'allais me donner en spectacle avec une inconnue?!

J'allais enfin lui dire que je voulais que cela cesse quand elle se glissa contre moi, défaisant les boutons de ma chemise un à un de ses doigts gracieux. Ses cheveux chatouillaient ma poitrine pendant qu'elle descendait jusqu'à mon pantalon, libérant mon sexe en érection. Sans prendre son souffle, elle le mit dans sa bouche, la chaleur de son haleine me faisant encore plus bander. Ses lèvres étaient douces et habiles. De sa main droite, elle tira doucement vers l'arrière la peau de ma verge, puis avec la gauche, elle entreprit des mouvements en huit. Je ne connaissais pas cette technique, qui me fit plier les orteils et gémir allégrement. Je lui demandai de ralentir et je pensais qu'elle allait m'écouter durant les 5 secondes de répit qu'elle m'offrit, mais je me trompais. Elle se pencha sur moi, prit sa généreuse poitrine entre ses mains, puis glissa mon pénis entre eux. Vigoureusement, elle me masturbait, de plus en plus vite, et la vision de ce fantasme jamais réalisé me donnait encore plus de plaisir.

On aurait dit qu'elle sentait que j'allais jouir, car elle a soudain arrêté son manège pour me regarder. Fixement. Soulevant son bassin, elle vint se coller contre moi. Puisque mes mains étaient liées, elle utilisa la sienne pour m'aguicher en se caressant doucement le clitoris, qui m'indiquait qu'elle était tout aussi excitée que moi. Elle prit un peu de sa mouille sur son doigt et la goûta, se léchant les lèvres. Sans que je ne puisse dire ouf, elle se plaça par-dessus ma verge, puis s'enfonça dessus. Elle était si chaude, si douce, j'avais envie de perdre la tête. On aurait dit que mes sensations étaient décuplées! Elle me chevauchait et je ne pouvais rien faire, mais j'aimais ça! Elle murmurait son plaisir, ses cheveux virevoltant dans son dos. Je n'en pouvais plus, ça devait bien faire 40 minutes que j'étais là, tel un esclave. Mon gland bouillait et les spasmes de l'orgasme étaient tout près. Enfin, elle serra les cuisses, prise d'une vague de plaisir à laquelle j'avais participé sans réellement pouvoir y mettre ma touche. Dieu qu'elle était belle, même sous son masque. Je ne pus me retenir et je vins en elle, déversant enfin ma semence, la remplissant de mon plaisir. C'est à ce moment que je me rendis compte que toute la salle nous observait, avec des hommes et des femmes qui se masturbaient devant le spectacle que nous avions offert.

Elle me détacha, referma le rideau, puis disparue.. Je ne sais pas encore si j'ai réellement vécu tout ça.

Copyright.

vendredi 14 janvier 2011

Boule d'amour

J'ai eu l'idée, pour mon stage en maternelle, de fabriquer du matériel proprioceptif qui ne soit pas trop dispendieux.

Qu'est-ce que du matériel de ce genre? Pour faire simple, il s'agit entre autre de matériel qui sert à procurer au système nerveux d'un enfant des stimulations sur le plan de la proprioception (aidant à faire prendre conscience du corps, de la sensation des membres, sans regarder) et sur le système nerveux. Souvent d'une lourdeur plus grande que la normale, on s'en sert auprès d'enfant ayant un trouble envahissant du développement, ou une dyspraxie, un TDAH...

Bref, j'ai eu envie de créer mon propre matériel. J'ai en effet acheté une grosse boule de styromousse, assez lourde, sur laquelle j'ai collé des pom pom en peluche douce. Pour les enfants, je crois que ce sera intéressant pour travailler la motricité, car un objet ayant une texture particulière peut demander de nouvelles habiletés, mais il y a aussi l'aspect dont je vous ai parlé plus haut.

J'aimerais voir si ma boule d'amour pourra avoir un effet calmant lors de la sieste, ou si un enfant est en crise..
Bref, c'est à voir.

Je vous suggère tout de même d'essayer ça à la maison, vu que c'est rigolo et r
apide à faire :)


mardi 11 janvier 2011

Un menu pour deux

Cette nuit, j'ai rêvé de toi. De toi et moi, pour être plus précise.

Tu m'avais contacté dans l'après-midi pour que nous allions manger ensemble, étant donné que nous étions amis sur facebook. J'ai dit oui, pourquoi pas! Je me suis faite belle, simplement pour me sentir à mon avantage, et je suis partie pour le resto. Une fois sur place, je me suis assise à la banquette et je t'ai attendu. J'ai pris le temps de respirer, car la nervosité se faisait sentir.

Puis, je t'ai vu entrer. Assez proche de l'avatar que j'admirais, parfois, sans te le dire. Grand, démarche assurée. J'aime. Je me suis levée, pour te faire l'accolade et tes bras m'ont tout de suite entourée. Ouf! Je ne m'attendais pas à ça. Le regard que tu m'as lancé m'a troublée, mais je n'ai rien dit. Je me suis assise, face à toi et le silence fût pesant

"Écoute.. Je te trouve superbe. Simple, dynamique et jolie ".

Je ne savais quoi te dire, la timidité l'emportant sur ma grande gueule. Nous avons commandé et tu ne cessais de frôler ma jambe avec la tienne. Ça me donnait des frissons et je crois que tu le sentais entre mes cuisses. Ma respiration se faisait courte. Allais-tu oser? Mais après, tu as eu l'audace que je n'avais pas. Tu as laissé tomber ta fourchette et tu t'es glissé sous la table. Ta grande main chaude remontant le long de mon mollet, puis sur mon genou et finalement se glissant sous ma jupe, elle s'est mise à la recherche de quelque chose... Un léger effleurement. Rien de trop.

Puis, tu t'es rassis, mine de rien, en me disant que tu cherchais à savoir si je portais quelque chose et si j'étais épilée. Devant tant d'honnêteté, je t'ai répondu du tac au tac qu'un string n'avait jamais empêché quoi que ce soit et que tu pouvais bien retourner voir pour la douceur.

Au dessert, bizarrement, tu as échappé ta cuillère et le manège reprit. Cette fois-ci, ce sont tes deux mains qui ont eu l'audace de remonter mes jambes jusqu'entre mes cuisses. Du bout des doigts, tu as remonté le long de la ficelle du string en dentelle que je portais. Chaud, doux et un peu fripon comme geste. J'avais juste hâte que tu me touches, peau contre peau. J'avais chaud, j'étais moite. Quel cochon! Je n'ai pu m'empêcher de soupirer quand ton doigt s'est aventuré à l'entrée de ma chatte. J'ai eu peur qu'on nous surprenne. « Remonte! » Que je t'ai lancé.

N'attendant même pas que tu sois assis, je t'ai pris par la manche en t'obligeant à me suivre. Le resto était tout de même occupé et je savais que les gens nous verraient aller aux toilettes. Et alors? Arrivé dans la pièce, je me suis assuré de bien pousser le loquet, même si me faire surprendre était un excitant. Je n'ai pas eu le contrôle bien longtemps. Tu m'as empoignée par la taille, me poussant contre le comptoir. Tu étais dos contre moi, le visage dans mon cou. Du bout des lèvres, tu jouais avec mon lobe, en glissant ta main sous mon string.

J'étais si humide qu'il n'y avait aucun autre choix, je l'ai glissé, puis enlevé pour que tu puisses enfin me faire jouir comme je le voulais. Je te sentais bien bandé dans mon dos, car tu te frottais au rythme de tes caresses. De la paume, tu me caressais le clito, mais j'en voulais plus, plus, plus!! Je me suis retournée, m'assoyant sur le rebord du comptoir, et j'ai pris ta tête pour la mettre au bon endroit. Je ne voulais rien d'autre! Allez, lèche-moi, soupirais-je. Tu n'as pas été difficile à convaincre, car à peine ma phrase terminée, tu t'adonnais à ce plaisir auquel tu excellais. Lentement, ta langue parcouru mon intimité, en appuyant aux endroits les plus délicieusement jouissifs.

Ma tête me semblait lourde et j'avais les jambes tremblantes. C'est alors que tu décidas de me faire subir encore mieux! Un doigt, puis deux, puis trois que j'accueillis avec plaisir. Je me mordais les lèvres, c'était si bon! Ta langue continuait de me parcourir, alors que tes doigts faisaient un va-et-vient de plus en plus langoureux. L'orgasme était là, tout près. Je voulais arrêter le temps pour en savourer chaque seconde. Entre tes dents, tu as pris mon clito, tu l'as mordillé, tout doucement. C’en était trop! J'ai été envahie par ces ondes de plaisir d’une force insoupçonnée. J'ai pris quelques secondes pour reprendre mon souffle, mais je n'avais qu'une envie, c'était que tu me prennes. Ton érection me donnait l'impression que tu avais une queue des plus excitantes. J'en profitai donc pour t'enlever ton pantalon et j'avais raison. Large, longue. Une verge pour faire des cochonneries! Je t'ai alors fait ce que je préférais..Une toute petite fellation pré pénétration. Hmmm!!!

En te massant la verge, je m'amusais à suçoter ton gland, puis à lui donner de grands coups de langue bien sentis .Tu sortis un condom de la poche de ton pantalon, l'ouvrit et je le mis entre mes lèvres pour te le glisser avec ma bouche. Une fois installé, les choses commencèrent vraiment à me plaire Le comptoir n'était pas très haut et ça m'a donné l'idée de mettre une jambe dessus, repliée pour que je sois bien offerte à toi.

Me prenant par la taille, ton sexe bien érigé vers moi, tu pouvais maintenant te glisser lentement, et profondément en moi, ce qui me coupa le souffle tellement c'était bon. Tes mains me tenait par les seins, que tu avais laissé libres en les défaisant de mon corsage.

Le rythme devait de plus en plus rapide. J'avais envie que ça dure encore et encore comme si tu m'avais comprise, tu me glissas à l'oreille "je n'ai pas fini avec toi, ma poire"... Et c'était reparti de plus belle. Je sentais tes couilles frapper tellement tu te donnais. Quel animal, c'était fou!! Tu te retiras, pour que l'on change de position et me faisant tenir contre le mur, les jambes. Face à toi, je n'avais envie que de t'embrasser pendant que tu me pénétrais, vite et fortement. Me sentais-tu, mouillée et chaude pour toi? Je n'en pouvais plus, mon cœur battait la chamade, j'allais jouir à nouveau.

J'ai compris que tu allais avoir aussi un orgasme et j'ai décidé de me laisser aller. L'espace d'un instant, j'ai perdu contact. Tremblotante, mais rassasiée, je me suis rhabillée devant toi, remettant mon string, ma jupe et mon chemisier..


Tu m'as promis que tu ne dirais rien à personne.. Mais moi.. Non!

(copyright)

samedi 8 janvier 2011

Quand je m'ennuie

Je peux faire choses très peu productives...

Photobucket

samedi 1 janvier 2011

Une promesse

En 2011, je promets de slugger toutes les personnes qui vont oser ma dire, à moi ou à d'autres, que "ce que tu manges va t'rester dans les hanches!".

C'est à cause de commentaires débiles comme ça que les filles se sentent mal, qu'elles développent des complexes et qu'elles ont l'estime à terre.

Personnellement, je ferme ma gueule quand je vois du monde se boire 4, 5 bières par jour, alors que chacune apporte 140 calories.. Faites le calcul, pis mon biscuit au chocolat n'accote pas ça.

Faque si vous voyez une fille frustrée, complexée, déçue d'être elle-même et que vous osez lui dire qu'elle ne devrait pas manger ce biscuit.. Watch out, ça va vous coûter chez en dentiste.


(500x2) + (250x4) + (15-6) + (4-2)

Essayons d'être heureux...

Nul besoin de résolutions que l'on ne tiendra pas. Pensons à prendre soin de nous, tout simplement...

Bisous xxx

dimanche 19 décembre 2010

Il fallait que je le dise

JF L'internaute (voir lien sur ma blog list) est un vrai gentleman!


Malgré un empêchement de dernière minute, il a été gentil au point de venir se cacher au restaurant pour me surprendre à ma fête! Je trouve que c'est une pensée tellement gentille!

Merci beaucoup JF, je suis ravie que tu aies pris ce temps pour me faire une surprise!!


jeudi 9 décembre 2010

Jeudi confession

J'ai acheté du Arctic Power aujourd'hui, seulement pour refaire un saut dans le temps, 6 ans en arrière.

Plus précisément, je me suis retrouvée sur le parking de l'hôtel Matagami, à serrer pour la première fois dans mes bras l'homme qui allait devenir mon chum...

Vive le Arctic Power ^_^

samedi 4 décembre 2010

Arrrg tannée

Shiva+Besoin d'attention= Sapin tout décâlissé.

Tasse-toooooooooooooé!